Novembre 2007


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Senso unico: l’Italia è di scena a New York

Sono otto i nomi degli artisti presenti nella collettiva intitolata Senso unico, in corso a New York fino al 7 gennaio 2008: Paola Pivi, Francesco Vezzoli, Vanessa Beecroft, Rä Di Martino, Paolo Canevari, Angelo Filomeno, Pietro Roccasalva e Adrian Paci (sette italiani e un’albanese adottato dall’Italia).

Ospitati con le loro opere dal P.S.1 Contemporary Art Center (affiliato al MoMA) per rappresentare il nostro paese in un’esposizione che li vede per la prima volta riuniti nello stesso contesto, gli artisti in mostra intrecciano linguaggi e percorsi formativi diversi, fornendo una dimostrazione della vitalità delle giovani voci dell’arte italiana, attive negli ultime dieci anni.

Tra le opere esposte, di cui potete vedere qualche esempio nella galleria, Life Is Great di Paola Pivi (un grande orso ricoperto di piume gialle), due ritratti luminosi di Vanessa Beecroft e la serie intitolata Il vangelo secondo Pasolini di Adrian Paci.

vedi:  http://www.criticart.it/?p=3237

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Société
L’évêque condamne le “manque de conscience” des Réunionnais
CLICANOO.COM | Publié le 26 novembre 2007
L’évêque de la Réunion fustige le manque de conscience des Réunionnais et appelle chacun à aider l’autre à réussir sa vie. Dans son homélie prononcée hier lors de la cérémonie d’ordination de cinq nouveaux diacres permanents, Mgr Aubry a mis l’accent sur la nécessité d’une transfiguration de la vie humaine.
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“Nous sommes en train de devenir des moutons de panurge.” C’est le chef de l’Église qui l’affirme, sur un ton très grave. Et Monseigneur Gilbert Aubry de dénoncer avec force la mondialisation et la société de consommation. “On manque de conscience. On mange, on boit, on danse, on fait la fête. Et après ?”, interroge-t-il, avant d’interpeller la population sur un nécessaire réveil de cette conscience. Estimant d’ailleurs que chacun a un rôle à jouer dans le quartier, dans la société, l’évêque de la Réunion exhorte à ne pas laisser la jeunesse basculer dans la drogue et les enfants livrés à eux-mêmes dans la rue. Il appelle également à aider les autres à réussir leur vie, au respect de l’environnement, ou encore à redonner un sens à l’activité humaine… “Chrétiens, réveillez-vous”, ordonne-t-il devant plus d’un millier de fidèles venus assister ce dimanche, à la cérémonie d’ordination diaconale. Fidèledrabo-alassane_Meuble-tiroi.jpgs pEke-bright-ugochukwu_shield.jpgarmi lesquels figuraient au premier rang,dogbo-cesar_Lampe-Tango.jpg juste devant l’autel, Jean-Paul Virapoullé (député-maire de Saint-André), Didier Robert (député-maire du Tampon) et Alain Bénard (maire de Saint-Paul). Des élus qui en ont eux aussi pris pour leur grade. Mgr Aubry dénonçant le décalage entre les équipements de proximité et la population grandissante. Invitant à l’humilité, l’entraide et la solidarité, l’homélie du chef du diocèse était tout de même centrée sur les nouveaux diacres dont des représentants des différentes paroisses ont fait l’éloge afin de justifier leur aptitude à intégrer le diaconat. “C’est tout juste si on ne les a pas canonisés”, devait ironiser l’évêque, esquissant un regard en direction de Jean-René Picard, Jean-François Tergemina, Jean Eugène, Jacky Tévané et Jean-Marc Lucas. Ce sont eux, ces nouveaux “hommes de parole, d’engagement et de service”.

UN COMMANDO DE DIPLOMATESmenasria-dalil_Iron-maiden3.jpgs-nicandro2.jpg

En tout cas, les habitants pourront aussi compter sur le soutien de ces diacres permanents si le besoin vient à se faire sentir. Des Réunionnais ordonnés suivant les traditions reçues des apôtres, et marquées par l’imposition des mains du plus haut responsable du diocèse. “Ils partagent les activités de l’Église, aident à comprendre. Ils font partie du clergé. Mais ne les prenons pas pour des super-enfants de chœur ni pour des faux prêtres”, souligne Mgr Gilbert Aubry. Et l’évêque de préciser que les diacres – comparés à un commando de diplomates apostoliques – deviennent les garants de la catholicité de l’Église. Ils sont ainsi ordonnés afin de garantir la transfiguration de la vie humaine.

G.L.

* Jean Eugène, 52 ans, marié, trois enfants Employé au centre communal de la mairie du Tampon et responsable de site dans une maison d’accueil pour personnes âgées, M. Eugène est servant d’autel depuis 10 ans. Il a assuré la catéchèse pour des enfants de 4e année pendant cinq ans jusqu’à cette année. Pour le nouveau diacre, “la parole de Dieu, le cœur même de l’évangile, c’est l’amour”. “Dans le cadre de notre ministère, nous sommes appelés à évangéliser, à porter la parole et à mettre notre vie et nos actes en conformité avec la parole de Dieu”, confesse-t-il.

* Jacky Tévané, 49 ans, marié, quatre enfants “Le diacre est là pour annoncer la parole à temps et à contretemps. Il est là pour annoncer l’évangile jusqu’à donner son sang”, explique M. Tévané, issu de la paroisse Notre-Dame du Bon secours à Quartier Français. Celui-ci estime qu’annoncer l’évangile est actuellement une croix. “C’est difficile”, dit-il. Selon le responsable de la commission diocésaine pastorale familiale “la croix est présente dans la vie de chacun (…) le diacre a pour mission de faire comprendre aux gens que Dieu nous purifie à travers elle”.

* Jean-Marc Lucas, 63 ans, marié, deux enfants Membre de la paroisse Saint Jean-Marie Vianney au Plate, Saint-Leu, Jean-Marc Lucas est de ceux qui pensent que le diacre doit mettre ses mains dans le cambouis, dans la boue. “Lorsqu’on a connaissance d’un couple qui bat de l’aile, d’un malade, d’une personne seule, d’un handicapé, d’une IVG, il faut y aller. Il faut essayer d’accompagner ces personnes du mieux possible”, insiste-t-il. “Il faut descendre dans leur milieu de vie, aller les rencontrer, et aider les gens à nettoyer leur cœur pour rencontrer à nouveau Jésus-Christ”.

* Jean-René Picard, 49 ans, marié, un enfant Dans la paroisse de Saint-André qui est la sienne, celui-ci a été, entre autres, responsable de la liturgie, coordonnateur du conseil pastoral. Avec cette ordination, Jean-René Picard prendra sans doute d’autres engagements. “Je souhaite pouvoir servir avec la plus grande humilité, être ouvert et à l’écoute des autres”, dit-il.

* Jean-François Tergemina, 54 ans, marié, trois enfants “Il est important que la parole du Christ soit au cœur des familles, ça va être mon rôle de diacre”, expose en préambule, ce commercial issu de la paroisse Saint-Esprit à Trois-Mares au Tampon. Jean-François Tergemina estime que “si tout est désorganisé aujourd’hui, c’est parce que la parole n’est plus à sa place”. Et le nouvel ordonné d’affirmer : “sans parole il n’y a plus de vie. Ignorer la parole, c’est ignorer le Christ”.

*
A.P.O

………… MERCI POUR VOTRE DEVOUEMENT …………

Enfin quelqu’un qui veux prendre la “bête” par les cornes ! Je vous ferez remarquer que je n’ai pas dit anéantir : cela étant réservé au “RESSUSCITE”. Merci à tous ceux qui réveillent les consciences…Oh la critique est facile mais à l’article de la Mort on s’empresse de crier : au secours SEIGNEUR ! Es-tu là ? C’est vrai qu’il y a beaucoup de misère de part le monde…et si tous nous commencions à nous mettre à la Prière…Il parrait que c’est une Arme contre ! Une arme qui ne fait jamais de mort mais qui ressuscite les VIVANTS !

26 novembre 2007 – 16:31
*
kalimouna

vivre l

Il est temps de réagir, face à l’indifférence qu’avons nous fait de ce qu’on à reçu lors de notre tendre enfance. ils c’est fondu comme neige au soleil ? ou est cette AMOUR qui surpasses toutes intelligences ? ou est le plus grand commandement de JESUS qui nous enseignaient ? tous les autres suffit à celui là ( AIME TON PROCHAIN COMME TOI-MEME )il n’est pas trop tard si indivuduellement on prend la bonne résolution en cette nouvelle années 08. Avec un peu d’avance Bonne années à vous !…rempli d’amour verticale.

http://www.clicanoo.com/forum/viewforum.php?id=52

http://www.dakart.org/sommaire-fr.php3Tiens donc !

Le maire de Saint-Paul qui veut se racheter une conduite alors qu’il est dans la religion tamoule jusqu’aux yeux et même au-dessus. On appelle ça se moquer de la religion et prendre les gens pour des idiots comme lui. Mais ces derniers ne sont pas (plus) dupes. A combien de célébrations eucharistiques a-t’il assisté depuis qu’il est maire ? Cela m’incite de plus en plus à ne pas voter pour un c…d pareil.

Retournez à vos ablutions au Moulin à eau et ensuite à votre bureau climatisé. Pauvre type !

26 novembre 2007 – 13:37
*
G-Rhum

la-dit la messe en latin ?

… ou pas ? parce que si c’est pas du latin, j’en veux pas !

C’est vrai quoi, sauvons les langues mortes, vive l’hébreu qui est revenu de l’oubli ! A quand l’araméen (rien à voir avec l’arachnéen spiderman) ?

Comme çà nos jeunes y feront plus de conneries, mais ils auront la tête dans le dico !

Je m’imagine la REUNION avec que des étrangers qui y vivent, plus aucuns créoles, tous disparus, tous sont partis vivre à l’étranger, l’Ile dominé par des nations étrangères comme Saint-Gilles les Bains.
Tout cela est possible dans un avenir très proche surtout à cause de la chèreté de la vie que les réunionnais verront dans quelques mois.
A bientôt ailleurs.
Gérard du TOGO. Créole de Saint-Paul en exil depuis 10 ans en AFRIQUE.

( questo è quanto arriva nella mia posta, dedurre + conclusioni:

ken_samuel@nowpos.com
Buonasera ,
So che non lo conoscete personalmente, tuttavia io voglia che lo aiutavate dopo lettura della mia posta. Tengo a metterli al corrente che lavoro in una banca qui in Costa d’Avorio come direttore del servizio dei trasferimenti, fuoco Sig.ra. Lany Johnson aveva depositato la somma di $3.500.000 alla nostra banca prima che sia morta e da quando è morta nessuno non è venuto per i reclami di questi fondi.Vorrei dopo lettura della mia posta che la contattavate affinché possa fornirvi le precisazioni complete sul modo in cui i fondi saranno trasferiti nel vostro conto bancario senza alcuno problema.
Per la vostra informazione questa transazione è al 100% senza rischio. Per il vostro aiuto vi darò il 30% di questi fondi.
Grazie e che dio voi benedica.
Io voi pregati di autorizzare l’espressione delle mie sensazioni più distinte.
Il Sig. Ken Samuel.)

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Titolo: Tomás Maldonado. Un itinerario
Autore: Tomás Maldonado
Editore: Skira
Genere: arte
Collana: Arte moderna. Cataloghi
Pagine: 140
Data pubblicazione: 2007 SBN: 886130415X
A partire dal ruolo di promotore dell’avanguardia artistica argentina come teorico e pittore del movimento dell’arte concreta negli anni quaranta, la monografia ripercorre le tappe che hanno portato Maldonado dal Sudamerica in Europa, dove ha assunto un ruolo di primo piano nella cultura del disegno industriale, come professore e rettore della Scuola di Ulm e come protagonista del dibattito internazionale sui temi della progettazione e dell’ambiente. Nel volume sono ampiamente documentate tanto la produzione artistica, con le opere fra il 1945 e il 1953 e con i quadri più recenti, quanto i lavori nell’ambito del design del prodotto e della comunicazione. Una serie di saggi di studiosi affrontano alcuni dei temi che definiscono il profilo teorico di Maldonado, il suo contributo in diversi campi del sapere: la pedagogia del design e il carattere innovativo del progetto culturale e formativo della scuola di Ulm, l’apporto alla semiotica, il contributo ai fondamenti del disegno industriale in rapporto con la cultura della tecnica.

Tomás Maldonado ha donato alla Biblioteca del Progetto della Triennale di Milano oltre 1.500 libri e 160 annate di riviste, che coprono un arco di tempo che va dai primi del Novecento a oggi e che riguardano l’architettura, le tecniche costruttive, le realizzazioni storiche e i dibattiti culturali, in Europa (soprattutto in Germania e in Italia), in America Latina e nell’America del Nord, dove l’attività, l’impegno didattico, gli interessi professionali e le curiosità artistiche di Maldonado si sono espresse. L’internazionalità e in più di un caso la rarità dei titoli e delle riviste costituiscono un sicuro motivo di interesse per gli studiosi e i ricercatori. Nato a Buenos Aires nel 1922,

Tomás Maldonado è stato professore alla Hochschule für Gestaltung di Ulm (RTF) dal 1955 al 1967 e rettore dal 1964 al 1966. Nel 1965, “Lethaby Lecturer” al Royal College of Arts di Londra. Nominato nel 1966 “Fellow” del Council of Humanities dell’Università di Princeton (USA). Dal 1967 al 1970 occupa la cattedra “Class of 1913” presso la School of Architecture dell’Università di Princeton. Dal 1976 al 1984 è stato professore ordinario di Progettazione ambientale alla Facoltà di Lettere e filosofia dell’Università di Bologna e poi al Politecnico di Milano.
Intervento di Tomás Maldonado in occasione della Festa per la donazione del suo fondo di architettura e design alla Biblioteca del Progetto della Triennale di Milano

“Questa è una festa e io sono uno a cui piacciono molto le feste e meno le cerimonie. Il motivo di questa festa è la donazione di parte della mia biblioteca dedicata ad architettura e design e ai suoi “dintorni”: sono 1700 volumi dei quali forse la metà è molto comune, nel senso che ogni architetto aperto e culturalmente interessato ha più o meno gli stessi libri, l’altra metà testimonia la mia passione e i miei  interessi e curiosità: sono un lettore onnivoro e i miei interessi e le miei passioni hanno così preso forma di libri.

Ho ritenuto opportuno per molte ragioni donare questa parte della biblioteca. Io ho pensato molto a chi potevo fare questa donazione, quale posto fosse il luogo più indicato: l’università…io sono un vecchio educatore, un universitario…ho pensato che Triennale esprima una tradizione che mi è molto vicina, soprattutto, devo dire, negli ultimi anni con la svolta di Augusto Morello che ha intuito la necessità di una innovazione forte, non solo che si esprime in termini di rinnovamento fisico iniziato con lui ma anche con un tentativo innovativo dal punto di vista culturale: superare l’idea che questo luogo sia chiuso, solo per certe comunità, quasi medioevali, di autocelebrazione per architetti e designer. Questa nuova linea per me e per l’attuale presidente, Davide Rampello, che l’ha saputa interpretare dandone intensità maggiore, mi ha impressionato e incoraggiato.

Io credo che questa istituzione per la sua cultura e per la sua volontà di far convergere interessi molto diversi che vanno ben oltre architettura e design abbia avuto veramente una successiva svolta positiva.

Questo mi ha portato a dire che questo è il posto giusto.

Ma dietro a tutto questo c’è la grande debolezza di tutta la mia vita: l’educazione. Sono un educatore vero, non un burocrate. Ho vissuto cinquant’anni immerso nella necessità di formare giovani; è importante incominciare a creare un luogo a Milano dove confluiscano tutte le derivate della progettazione, anche quelle relative al mondo dei new media e delle forme che rientrano nel tema del progettare un servizio culturale e sociale di grande tensione.

Questo mi sembra che sia stato l’altro secondo motivo: formare giovani che si occupino di queste tematiche progettuali e non abbiano solo un interesse  professionale e inizino a capire che progettare è qualche cosa in più rispetto a un servizio professionale”.

Tomás Maldonado
Triennale di Milano
27 giugno 2007

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Caro Tonino,
il mosaico in carta possiede quasi la stessa duttilità della ceramica ed in più, pesa poco e non si rompe.
Ciao Alan

Dal 25 Novembre al 24 Febbraio, sul sito antologico www.alangattamorta.it, il pittore Alan Gattamorta presenterà la prima di una serie di rassegne, dedicate alla sua più recente produzione di mosaici in carta.

Attraverso l?innovativa tecnica del mosaico in carta, frutto di numerosi cimenti espressivi condotti sempre ad esiti originali, il maestro trova oggi occasione di catalizzare conoscenze e abilità, acquisite nel corso di una ricerca quarantennale.
Alan Gattamorta

mail  alangattamorta@libero.it

http://www.alangattamorta.it

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www.artemaci.it

http://www.davidebramante.it/

Si inaugura ad Isernia la mostra del fotografo Davide Bramante
2007-11-24 03:02:42
Sarà inaugurata oggi alle 18.00 al MACI – Museo di Arte Contemporanea di Isernia la mostra del fotografo siracusano Davide Bramante “Eureka 1997-2007”.

Il giovane artista siciliano opera dal 1991 nel campo della fotografia, delle istallazioni e delle produzioni video; numerose le sue esposizioni nelle gallerie di tutto il mondo, in questo anno oltre allo mostra che sarà inaugurata sabato al MACI ha tenuto una personale alla Galleria “Art Lunge” di Lisbona.

Eureka 1997-2007 è un viaggio affascinante nelle metropoli in cui, attraverso le esposizioni multiple – la tecnica che consente scatti sullo stesso fotogramma -, si mescolano giochi di finzione e realtà e in cui la dinamicità del tempo si accosta alla staticità dello spazio.

La mostra resterà aperta fino all’11 gennaio 2008.

Info www.artemaci.it – tel. 0865.441381

A prima vista il giovane fotografo siciliano Davide Bramante sembra condividere numerosi obiettivi dei Futuristi: il movimento e la compenetrazione delle sue immagini sovrapposte hanno tutta l’energia dinamica che troviamo, per esempio, in Boccioni. Eppure, malgrado questo e l’uso che Bramante fa di una tecnologia neanche sognata dai Futuristi, la sua consapevolezza dell’azione della memoria, perfino della nostalgia, è completamente diversa dalla loro filosofia che era, appunto, futurista (la quale, ormai, possiede tutto il pathos delle ideologie delle avanguardie passate).
Bramante stesso dice della sua opera: ‘Il mio modo di fotografare è identico al mio modo di ricordare, pensare, sognare, sperare, tutto avviene per sovrapposizioni temporali e spaziali’. In altre parole, il suo lavoro tratta tanto del passato e del presente quanto del futuro, e le sue visioni simultanee sono la ricreazione totale di un luogo e di una società più che un’idea utopica di come questi dovrebbero essere. Esemplari sono le sue ricreazioni di Dublino, fotografie che fanno parte di una serie, iniziata nel 1998, intitolata My Own Rave. O’Connell Street è la base di una delle immagini, una strada riconoscibile da tutti i suoi capisaldi. Eppure, sopra ed attraverso l’immagine galleggia un manifesto che ritrae Madonna, un nome ed un’icona ambivalenti che subdolamente alludono alle ossessioni dell’Irlanda cattolica: il sesso e la religione.
Come in tanti ritratti dedicate alle più disparate città del mondo che ha attraversato e poi ricreato nelle sue fotografie, anche qui Bramante racchiude un’intera società, con tutti i suoi aspetti visibili nello stesso momento. Come dice l’artista: ‘Per me queste immagini sono la fotografia esatta della società contemporanea’. Ebbene sono anche la fotografia esatta dell’artista e della sua storia personale, ‘Le stratificazioni e le velature che trovi sopra ogni immagine mi riconduce alla storia della mia terra e del mio popolo, siamo un po’ Arabi, Normanni, Bizantini, Spagnoli…’. Bramante è l’eterno girovago mediterraneo come Ulisse o come gli ebrei o anche gli Irlandesi stessi: a casa dappertutto eppure mai a casa. Ed inevitabilmente, mentre guardiamo l’infinita ed allusiva varietà di questa strada di Dublino, ci viene in mente un altro personaggio: può essere che Bramante sia il Leopold Bloom della fotografia…?

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(foto Andrea Picariello, D. Bramante a Macchiagodena)

P.S. per Davide:  i dimantini stanno bene, si riproducono e sono liberi… a.p. grazie…

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Il venticinque settembre milleduecentosessantaquattro, sul far del giorno, il Duca d’Auge sali in cima al torrione del suo castello per considerare un momentino la situazione storica. La trovò poco chiara. Resti del passato alla rinfusa si trascinavano ancora qua e là. Sulle rive del vicino rivo erano accampati un Unno o due; poco distante un Gallo, forse Edueno, immergeva audacemente i piedi nella fresca corrente. Si disegnavano all’orizzonte le sagome sfatte di qualche diritto Romano, gran Saraceno, vecchio Franco, ignoto Vandalo. I Normanni bevevan calvadòs.

Il Duca d’Auge sospirò pur senza interrompere l’attento esame di quei fenomeni consunti.

Gli Unni cucinavano bistecche alla tartara, i Gaulois fumavano gitanes, i Romani disegnavano greche, i Franchi suonavano lire, i Saracineschi chiudevano persiane. I Normanni bevevan calvadòs.

– Tutta questa storia, – disse il Duca d’Auge al Duca d’Auge, – tutta questa storia per un po’ di giochi di parole, per un po’ d’anacronismi: una miseria. Non si troverà mai via d’uscita?

Affascinato, continuò per alcune ore a osservare quei rimasugli che resistevano allo sbriciolamento; poi, senz’alcuna ragione apparente, lasciò il suo posto di vedetta e scese ai piani inferiori del castello, dando di passata sfogo al suo umore cioè alla voglia che aveva di picchiare qualcuno.

Picchiò, non la moglie, inquantoché defunta, bensi le figlie, in numero di tre; batté servi, tappeti, qualche ferro ancora caldo, la campagna, moneta, e, alla fin fine, la testa nel muro. Ciò fatto, gli venne voglia d’un viaggetto, e decise di recarsi nella Città Capitale in umile arnese, accompagnato solo dal paggio Mouscaillot.

Scelse tra i palafreni il suo roano favorito, chiamato Demostene perché parlava, pur col morso tra i denti.

_ Ah, mio buon Demò, – disse il Duca d’Auge con voce lamentosa, – quanta tristezza, quanta melancolia m’opprimono!

_ Sempre la storia? – domandò Sten.

_ Non c’è gaudio che in me lei non dissecchi, – rispose il Duca.

_ Coraggio! Vossignoria si metta in sella, e andiamo a spasso!

_ La mia intenzione era ben questa, e altra ancora.

– Qual mai?

– Andar via per qualche giorno.

_ Cosi si che mi piace! Dove vuole che la porti, signoria?

_ Lontano! Qui il fango è fatto dei nostri fiori.

_ … dei nostri fiori blu, lo so. E allora?

– Scegli.

Il Duca d’Auge montò in groppa a Sten che fece la seguente proposta:

_ Che ne direbbe vostra signoria d’andare a vedere a che punto sono i lavori della chiesa di Notre-Dame?

_ Come? – esclamò il Duca, – non sono ancora terminati?

– È quel che andremo a controllare.

_ Se la tirano tanto in lungo, quei franchi muratori finiranno per metter su una mahomeria.

_ Perché non un buddistero? o un batti-Iao-tsero? o un confucionale? Non bisogna veder tutto cosi nero, signoria! In strada! Coglieremo l’occasione per porgere il nostro feudal omaggio al santo Re Luigi nono del suo nome.

Senz’attendere risposta dal padrone, Sten si mise a trottare verso il ponte levatoio che s’abbassò funzionalmente. Mouscaillot, che non proferiva verbo per paura di prendersi un rovescio di manopola sulle gengive, veniva appresso, montato su Stéphane, cosi chiamato perché di poche parole. Dato che il Duca rimasticava la sua amarezza e che Mouscaillot, seguendo la sua politica prudente, perseverava nel silenzio, solo Sten continuava a ciarlare allegramente e lanciava ameni frizzi a quelli che lo guardavano passare, i Celti con aria gallicana, i Romani con aria cesarea, i Saraceni con aria cerealicola, gli Unni con aria univoca, i Franchi con aria sorniona, i Vandali con aria vigile e urbana. I Normanni bevevan calvadòs.

Nell’inchinarsi al passaggio del loro ben amato signore, i villici bofonchiavano oscure minacce, ma sapendo che sarebbero rimaste senza seguito non le spingevano più lontano dei propri baffi, chi li aveva.

Sulla strada maestra, Sten andava di buon passo e stava zitto: non c’era traffico e lui non trovava più interlocutori; non voleva importunare il suo cavaliere, che sentiva sonnecchiare; dato che Stef e Mouscaillot condividevano tale riserbo, il Duca d’Auge fini per addormentarsi.

Abitava una chiatta ormeggiata nei paraggi d’una grande città e si chiamava Cidrolin. Gli si serviva in tavola una aragosta non troppo fresca con una glauca maionese. Scorticando le zampe della bestia con lo schiaccianoci, Cidrolin disse a Cidrolin: .

_ Mica gran che, mica gran che; a far da cucina Lamelia non imparerà mai.

Soggiunse, sempre rivolto a se stesso:

_ Ma dove diavolo andavo, addosso a quel cavallo?

Non mi ricordo più. Del resto, vedi i sogni come sono: mai in vita mia sono montato su un cavallo. In bicicletta neanche: mai in vita mia sono montato su una bicicletta, ma in sogno, in bicicletta non ci vado mai, a cavallo si. Una spiegazione ci dev’essere, questo è poco ma sicuro. Certo quest’aragosta non è gran che, e questa maionese neanche, e se imparassi ad andare a cavallo? Al Bois, per esempio. Oppure in bicicletta.

_ Non avresti neanche bisogno di patente, – gli si fa osservare.

– Lascia perdere.

Gli si porta il formaggio.

Gesso.

La frutta.

Piena di vermi.

Cidrolin si pulisce la bocca e mormora:

_ Anche questa l’ho in quel posto.

Non t’impedirà di farti la tua siesta, – gli si dice.

Non risponde; la sedia a sdraio l’attende sul ponte. Si copre la faccia con un fazzoletto ed eccolo già in vista delle mura della capitale, in quante tappe non importa. _ Càspita! – esclamò Sten, – ci siamo.

Il Duca d’Auge si stava svegliando con l’impressione di aver mangiato male. Fu allora che Stef, il quale non aveva detto nulla da quand’erano partiti, senti il bisogno di prendere la parola, in questi termini:

– Alma ed inclita città.;

_ Silenzio! – disse Sten. – Se ci sentissero parlare, il nostro buon padrone sarebbe accusato di stregoneria. – Brr, – fece il Duca.

– E il suo paggio, idem.

– Brr, – fece Mouscaillot.

E per mostrare in che modo conveniva a un cavallo

esprimersi, Sten nitri.

Il Duca d’Auge discese alla Sirena Storta, che gli era

stata taccomandata da un trovatore di passaggio.

_ Cognome, nome, titoli? – domandò Martin, il locandiere.

_ Duca d’Auge, – rispose il Duca d’Auge, – Joachim di nome. Sono accompagnato dal mio devoto paggio Mouscaillot, figlio del Conte d’Empoigne. Il mio cavallo ha nome Sten e l’altro si chiama Stef.

– Domicilio?

– Larche, vicino al ponte.

_ Tutto molto cattolico, mi pare, – disse Martin.

_ Spero bene, – disse il Duca, – perché con le tue domande cominci a rompermi le tasche.

_ Che sua signoria mi perdoni, è per ordine del Re.

_ Non vorrai mica domandarmi cosa vengo a fare nella capitale?

_ Non c’è bisogno! Sua signoria viene a visitare le nostre sgualdrine che sono le più belle di tutta la cristianità. Il nostro santo Re non le può soffrire; ma esse partecipano con ardore al finanziamento della prossima crociata.

_ Mal t’apponi, locandiere. Vengo a vedere a che punto siamo coi lavori della chiesa di Notre-Dame.

_ La torre a sud è parecchio avanti e adesso si comincia quella a nord e la galleria che le congiunge. Si rifanno pure le parti in alto per dare più luce.

_ Basta! – urlò il Duca. – Se mi racconti tutto, non mi resterà che tornarmene a casa, il che non mi confà.

_ Non confà neanche a me, quindi porto da cena immantinenti.

Il Duca mangiò copiosamente, andò a dormire, dormi

di buon appetito.

Non aveva ancora terminato la siesta, quando lo svegliarono due nomadi interpellandolo dall’alto della riva. Cidrolin rispose a segni, ma loro certo non capivano quel linguaggio, dato che discesero la scarpata fino alla passerella e salirono a bordo della chiatta. Erano un campeggiatore maschio e un campeggiatore femmina.

_ Skiuzate euss,-disse il campeggiatore maschio,-nosotros sind lost.

_ Cominciate bene, – replicò Cidrolin. _ Compri? Egaràti … Lostati.

– Triste destino.

_ Campinghe? Luèn? Euss … smarriti.

_ Chiacchierare chiacchiera, – mormorò Cidrolin, – ma parlerà in europeo vèrnacolare o in neo-babelico?

Ah, ah, – fece l’altro, con segni manifesti di soddisfazione. – Voi fersteate I’iuropio?

_ Un poco, – rispose Cidrolin, – ma mettete giù lo zaino, nobili stranieri, e prendete un glass con me prima di ripartire.

– Ah, ah, compri: glasso

Radioso, il nobile straniero posò lo zaino, poi, disdegnando i mobili destinati alla bisogna, s’accoccolò sull’impiantito, incrociando agilmente le gambe sotto di sé.

La signorina che l’accompagnava l’imitò.

_ Saranno giapponesi? – si domandò Cidrolin a mezza voce. – Però hanno i capelli biondi. Che siano degli aino?

E rivolto al giovane:

_ Non sarà mica aino, lei?

_ I? No. lo: piccolo amico di tutto il mondo.

– Capito: pacifista?

– Jawoh1. E quel glass?

_ O europeo, tienti pur calmo! Cidrolin batté le mani e chiamò: – Lamelia! Lamelia!

Si apparve.

_ Lamelia, da bere per questi nobili stranieri.

– Da bere che?

_ Quella bevanda alcolica che si ottiene dalla fermentazione dell’essenza di finocchio, e viene versata nel bicchiere in piccola dose e poi diluita con acqua naturale.

Ci si eclissò.

Cidrolin si sporse verso i nomadi.

_ Allora, uccellini miei, vi siete ferloren?

_ Sperduti, – disse la ragazza. – Complètement paumés.

 

 

 

 

Raymond Queneau

 

Raymon Queneau è nato nel 1903 a Le Havre. Laureato in filosofia, partecipò attivamente negli anni ’20 al movimento surrealista. Fu redattore della casa editrice Gallimard e nel 1944 entrò nel direttivo del Comitato nazionale degli Scrittori, nato negli ambienti della resistenza francese. Nel ’53 divenne direttore dell’Encyclopedie de la Pleiade, nel ’60 fondò l’ Ouvroir de litterature potentielle, punto di riferimento per la sperimentazione letteraria europea. Lavorò nel cinema come sceneggiatore, ma anche come attore. Morì il 20 ottobre 1976 a Parigi.

Tra le sue opere…

1942 Pierrot amico mio – Pierrot mon ami

1947 Esercizi di stile – Exercices de style

1952 La domenica della vita – Le dimanche de la vie

1959 Zazie nel metro’ – Zazie dans le metro

1962 Il diario intimo di Sally Mara – Le oevres completes de Sally Mara

1965 I fiori blu – Les fleurs bleues

1966 Una storia modello – Une historie modele

1971 Troppo buoni con le donne – On est toujours trop bon avec les femmes

 

Roberto Saviano Si è laureato in Filosofia all’Università degli Studi di Napoli “Federico II”, dove è stato allievo dello storico meridionalista Francesco Barbagallo. Collabora con L’espresso e La Repubblica. Suoi racconti e reportage sono apparsi su Nuovi Argomenti, Lo Straniero, Nazione Indiana, Sud, e si trovano inclusi in diverse antologie fra cui Best Off. Il meglio delle riviste letterarie italiane (Minimum Fax 2005), e Napoli comincia a Scampia (L’Ancora del Mediterraneo 2005).

 

Non esiste nulla al mondo che possa competervi. Niente in grado di raggiungere la stessa velocità di profitto. Nulla che possa garantire la stessa distribuzione immediata, lo stesso approvvigionamento continuo. Nessun prodotto, nessuna idea, nessuna merce che possa avere un mercato in perenne crescita esponenziale da oltre vent’anni, talmente vasto da permettere di accogliere senza limite nuovi investitori e agenti del commercio e della distribuzione. Niente di così desiderato e desiderabile. Nulla sulla crosta terrestre ha permesso un tale equilibrio tra domanda e offerta. La prima è in crescita perenne, la seconda in costante lievitazione: trasversale a generazioni, classi sociali, culture. Con multiformi richieste e sempre diverse esigenze di qualità e di gusto. È la cocaina il vero miracolo del capitalismo contemporaneo, in grado di superarne qualsiasi contraddizione. I rapaci la chiamano petrolio bianco. I rapaci, ovvero i gruppi mafiosi nigeriani di Lagos e Benin City divenuti interlocutori fondamentali per il traffico di coca in Europa e in America al punto tale che in Usa sono presenti con una rete criminale paragonabile soltanto, come racconta la rivista ‘Foreign Policy’, a quella italoamericana. Se si decidesse di parlare per immagini, la coca apparirebbe come il mantice di ogni costruzione, il vero sangue dei flussi commerciali, la linfa vitale dell’economia, la polvere leggendaria posata sulle ali di farfalla di qualsiasi grande operazione finanziaria. L’Italia è il paese dove i grandi interessi del traffico di cocaina si organizzano e si strutturano in macro-strutture che ne fanno uno snodo centrale per il traffico internazionale e per la gestione dei capitali d’investimento. L’azienda-coca è senza dubbio alcuno il business più redditizio d’Italia. La prima impresa italiana, l’azienda con maggiori rapporti internazionali. Può contare su un aumento del 20 per cento di consumatori, incrementi impensabili per qualsiasi altro prodotto. Solo con la coca i clan fatturano 60 volte quanto la Fiat e 100 volte Benetton. Calabria e Campania forniscono i più grandi mediatori mondiali nel traffico di coca, in Campania sono avvenuti i maggiori sequestri d’Europa degli ultimi anni (una tonnellata solo nel 2006) e sommando le informative dell’Antimafia calabrese e napoletana in materia di narcotraffico, si arriva a calcolare che ‘ndrangheta e camorra trattano circa 600 tonnellate di coca l’anno.

La strada africana, la strada spagnola, la strada bulgara, la strada olandese sono i percorsi della coca infiniti e molteplici che hanno un unico approdo da cui poi ripartire per nuove destinazioni: l’Italia. Alleanze strettissime con i cartelli ecuadoregni, colombiani, venezuelani, con Quito, Lima, Rio, Cartagena. La coca supera ogni barriera culturale e ogni distanza tra continenti. Annulla differenze, nell’immediato. Unico mercato: il mondo. Unico obiettivo: il danaro. In Europa, ‘ndrangheta e camorra riescono più di ogni altra organizzazione a movimentare la cocaina. Spesso in alleanza tra loro, alleanze nuove e inedite tra gruppi a cui i media italiani tradizionalmente riservano un’attenzione marginale e cronachistica, lasciando che nel cono d’ombra generato dalla fama di Cosa Nostra continuassero a migliorare e trasformare le loro capacità di importazione e gestione della coca. I giovani affiliati della ‘ndrangheta, come emerge spesso dalle inchieste dell’Antimafia calabrese, ormai non la chiamano più col suo nome arcaico e dialettale, ma Cosa Nuova. E che Cosa Nuova possa essere l’adeguata definizione per un’organizzazione sempre più trasversale e in strettissima alleanza con i cartelli napoletani e casalesi della camorra è qualcosa in più di un semplice sospetto. Tra Sud America e Sud Italia sembra esserci un unico cordone ombelicale che trasmette coca e danaro, canali noti e sicuri, come se esistessero immaginari binari aerei e gallerie marine, che legano i clan italiani ai narcos sudamericani.

Caro Antonio,

Stefano Sabelli, direttore artistico de Il Teatro del Loto di Ferrazzano (CB) – Piazza Spensieri, organizza con il sostegno della locale Confindustria “La24OrediTeatro”, una kermesse di spettacoli dal vivo – teatro, danza, musica, reading, ecc. – che prenderà il via alle 19,30 di sabato 24 novembre e durerà una notte e un giorno.  Alla kermesse parteciperanno molti attori e musicisti, quali Moni Ovadia, Silvio Orlando, Maria Letizia Gorga, Antonino Iuorio, ecc.

Altroverso si occupa dell’organizzazione di una sorta di “jam session” poetico-musicale in teatro – chiamata “Notte dei poeti”.

Dalle 2 alle 6 del mattino di domenica 25 questa “jam session” dovrebbe avvenire con modalità informali con l’intervento di alcuni autori invitati da Altroverso a leggere i loro testi e la “contaminazione” musicale di un gruppo di dj bolognesi.

A seconda delle adesioni in un tempo tanto ristretto, ogni autore avrà dai 15 ai 20 minuti per leggere.

Il tutto dovrebbe avvenire comunque in un suggestivo contesto teatrale e, credo, con un pubblico magari assonnato ma certamente interessato.

Gli spettacoli iniziano intorno alle 20 e poi, tra l’1 e mezzo e le due iniziano i nostri reading in teatro.

Ti abbraccio, Fabio

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i miei cachi... speciali

“Legami di Sangue”, il film girato in Molise dalla regista Paola Columba, vince il Delfino d’oro al 17° Chieti Filmfestival, premiato come miglior film e migliore attrice protagonista.

Il film prodotto dalla Baby Films di Fabio Segatori, in collaborazione con MoliseCinema, Gruppo KEREM ENG, Regione Molise e Provincia di Campobasso, racconta la storia di una faida familiare, una lotta all’ultimo sangue per una misera eredità. Quando amore e odio scorrono nelle stesse vene.

Il film, definito “un debutto rigoroso, coraggioso e felice” (Il Messaggero) ha già ricevuto un’entusiastica accoglienza nella sua anteprima italiana al Festival Capri-Hollywood.

In seguito, è stato invitato a partecipare a Festival Internazionali quali “Hollywood-Italia” a Los Angeles, Hollywood, nel prestigioso Teatro Cinese, già sede di numerose edizioni del Premio Oscar (Febbraio 2007) e al 16° Philadelphia Film Festival, Philadelphia, U.S.A. (Aprile 2007).

MoliseCinema
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Il film è stato pubblicizzato nel 2006 con interviste e servizi d’arte nella rubrica “Fluido Celeste” condotta da Antonio Picariello e Nino Barone, per il NetWork televisivo di TeleRegione.  Appaiono in contemporanea, oltre il regista e il produttore del film anche le  interviste esclusive  al critico d’arte  Achille Bonito Oliva, all’artista eventualista  Sergio Lombardo, al compositore  di colonne sonore A. Guerra, figlio del famoso sceneggiatore felliniano Tonino di Sant’arcangelo di Romagna. Chi fosse interessato può richiedere il documento presso le sedi di TeleRegione. a.p.

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