Marzo 2011
Dom 13 Mar 2011
Sab 12 Mar 2011
“Here I am !” (Eccomi!)
E’ una mia camicia (personalizzata con le cifre) “solidificata” che contiene una sagoma ricoperta di terra (quella dei miei campi).
Dimensione 185 x 185 cm. Praticamente una scultura con accentuatissima tridimensionalità (50 cm di profondità dal fondo).
Tutto bianco (lino) su bianco. A parte la terra.
Gio 10 Mar 2011
PENA UNIVERSITARIA, DOCENTI IN PUTREFAZIONE ANIMATA…
Posted by Antonio Picariello under arte/teatroNo Comments
CHE PENA- ERANO ANNI CHE NON MI CAPITAVA DI ASSISTERE AD UNA PENA DEL GENERE… RAGAZZI LASCIATE LE UNIVERSITà CREDETEMI, RIPRENDETEVI LA VITA CHE QUESTI DOCENTI VI UCCIDONO PER RESTARE IN VITA LORO CHE NON VALGONO NULLA…
Dom 6 Mar 2011
presentazione alla LIUSPIO atti del convegno -Luci e ombre del futurismo-
Posted by Antonio Picariello under arte/teatro , Comunicazione , manifesti/CriticaNo Comments
http://www.luspio.it/news.aspx?id_n=296
Mercoledì 9 marzo alle ore 16:30 nel Centro di Studi italofrancesi (Roma, Piazza di Campitelli 3) sarà presentato il volume “Luci e ombre del Futurismo” curato da Antonio Gasbarrini e Novella Novelli per Angelus Novus Edizioni dell’Aquila.
Nel libro, di oltre 400 pagine, sono pubblicati gli Atti dell’omonimo Convegno internazionale sul Centenario del Futurismo tenutosi alla Luspio, che aveva registrato la partecipazione di circa venti “agguerriti” studiosi italiani e stranieri. Dopo i saluti di Luca Danese (Presidente CdA Luspio), Antonio Iodice (Presidente Istituto di Studi Politici “San Pio V”) e Giuseppe Acocella (Magnifico Rettore Luspio), toccherà a Valeria Pompeiano (Direttore del Centro di Studi Italofrancesi), Marino Freschi (Direttore rivista “Cultura tedesca” e Gabiel-Aldo Bertozzi (Direttore rivista Bérénice), mettere a fuoco le molteplici angolazioni storiografiche e critiche leggibili nelle dense pagine di “Luci e ombre del futurismo”.
Lumières et ombres du futurisme
ANTONIO GASBARRINI – NOVELLA NOVELLI
Antiacadémique et, par certains côtés impertinent, voire exubérant, le Congrès Lumières et
ombres du Futurisme qui s’est tenu en octobre dernier à l’occasion du Centenaire, a certes résolu
quelques noeuds importants mais n’a pas manqué d’en créer de nouveaux. Au fil des 24
communications, les lumières ont au bout du compte, et de très loin, surpassé les ombres. Des
ombres tant idéologiques qu’esthétiques. Mais on peut dire que la démarcation chromatique et
allégorique n’est jamais apparue de manière tranchée . Les zones de pénombre, cependant, ont été
investies d’une dignité théorique propre.
C’est de celles-ci qu’il faudra partir pour lancer, dans l’immédiat, des travaux de recherche plus
systématiques que ceux qui sont proposés, et qui sont souvent pénalisés par l’exigüité de l’espace
typographique réservé par l’auteur. La plupart des textes occupent en moyenne de 15 à 20 pages.
L’on oscille ensuite d’un minimum de 5 à 6 pages à un maximum d’environ 70 pages, avec des
valeurs médianes d’une trentaine de pages. Ici, la longueur du texte n’influe pas sur la valeur de
la contribution. A l’hétérogénéité apparente de l’ouvrage correspond fort heureusement une
haute, et même parfois une très haute tension de « recherche ».
Gino Agnese et Giordano Bruno Guerri ont décrit, avec une rare efficacité de synthèse, certains
des aspects peu connus de la biographie des deux principaux protagonistes de la première et de la
dernière heure: Boccioni et Marinetti. Le premier se fonde sur des documents inédits qui ont
révélé – non sans recourir à la fable d’une histoire d’amour avec Augusta Popoff mûrie à Paris –
le voyage en Russie et la naissance de son fils Pierre (1906-1907) – épisodes très significatifs dans l’évolution de sa formation. Le second, avec la prose pétillante qui le distingue, met en exergue les jalons de la biographie mouvementée de Marinetti, qui s’est terminée au plan existentiel, mais symboliquement aussi, par l’épitaphe
gravée sur une pierre tombale abandonnée, au cimetière de Milan, “Filippo Tommaso Marinetti.
Poète”.
Antonio Picariello, toujours dans la veine biographique, en souligne à bon escient l’in-printing
nord-africain assimilé dans sa ville natale, Alexandrie d’Égypte, in-printing qui se muera en appât
fatal pour cette énergie magique, ludique et ésotérique – primordiale mais non archaïque – qui
donne son trait le plus significatif au Futurisme héroïque.
Qui, mieux que l’un des plus profonds connaisseurs et érudits du fondateur du Futurisme, son
neveu Leonardo Alaeddin Clerici, pouvait traiter de manière aussi originale l’hyperdimension gnostique,
si mal connue, du père de l’Avant-garde? L’écriture funambulesque parfois hermétique,
irrespectueuse des canons linguistiques consacrés, a offert plus d’un casse-tête aux responsables
de l’ouvrage…
Giovanni Lista a de son côté analysé en 15 points les principaux paradigmes de la poésie
futuriste: en partant de son rôle historique, joué dans la modernité, et en aboutissant à la pratique
esthétique peu étudiée du « Manifeste comme art ». Une véritable « leçon de style » qui n’a rien à
envier, tant s’en faut, à de simples exercices à la Queneau.
Gio 3 Mar 2011
Carlos Slim Helú è il più ricco del mondo con un patrimonio stimabile intorno ai 50 miliardi di dollari, ma è anche un eccellente collezionista d’arte. Il suo Soumaya Museum a Città del Messico prende il nome dalla defunta moglie. Il magnate delle telecomunicazioni, è il proprietario della più grande compagnia telefonica dell’America Latina. Nel nuovo museo
Carlos Slim Helù, settantuno anni, presenta la sua vastissima collezione a fine di marzo: si tratta di uno dei più grandi musei dell’America Latina, in grado di ospitare più di 60,000 opere d’arte. Il museo è stato progettato dal genero del magnate. Arroccato su una collinetta erbosa, l’asimmetrico edificio ha la forma di una manica ricoperta di moduli metallici esagonali che catturano la luce. L’edificio ospiterà anche uffici e negozi.